La Révolution en Périgord (compléments du chap.4)

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Références et compléments du chapitre 4 : Jacobins contre missionnaires, le conflit du serment

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Pour cette période, on peut renvoyer le lecteur à un ouvrage d’une écriture très alerte et d’une lecture passionnante, M Winock,La grande fracture, 1790-1793, Perrin, coll Tempus N°558 qui s’ajoute aux classiques, du marxiste Soboul au libéral Furet.

Les nouveaux tribunaux sont le pendant des nouvelles administrations, à raison d’un par district. A noter que certains d’entre eux siègent dans un lieu différent : Montpon pour le district de Mussidan, Monpazier pour Belvès, Terrasson pour Montignac. Ces cas posent problème dans la mesure où ces tribunaux sont géographiquement très décentrés dans le district. Le cas le plus flagrant est celui de Terrasson : 6 cantons sur 7 réclament son transfert à Montignac. On verra que l’affaire a trainé jusqu’à la fin de la Convention et provoqué début 1793 un affrontement entre Pipaud et les représentants en mission, notamment Lamarque.

ADD 1L156 (6 janv 1791)

A noter que la séance d’ouverture du tribunal du district de Périgueux fut marquée par un scandale provoqué par le procureur du roi, Augustin Mandavy, ancien membre de la Cour des Aides de Bordeaux qui, selon les témoignages, fit l’éloge des tribunaux d’Ancien Régime et n’eut pas de mots assez durs pour critiquer la rusticité des juges de paix. A noter que l’unanimité de la condamnation de ces propos eut ses limites, de façon assez amusante, dans les mérites qu’avait reconnus à ce discours Duroc. Cela provoqua une certaine émotion quand on connaissait les positions du commandant de la garde nationale ! Il se rétracta déclarant « qu’il n’avait pas bien compris » les propos de Mandavy !

La taille est remplacée par un impôt foncier calculé par chaque commune qui doit dresser un état des sections du finage d’après fertilité. Ce qui donne lieu à l’établissement de tableaux très complexes bien au-dessus des capacités de la plupart des municipalités (voir notre étude sur le district de Bergerac, chapitre 3.

La question de la prise en charge des pauvres relève désormais de l’administration alors qu’elle était organisée par les institutions religieuses ou les nobles. Ainsi à Bergerac voir la question posée par la cessation de la prise en charge des enfants abandonnés, après le désistement de Caumont. A ce titre le registre des délibérations donne lieu à un état des institutions de charité sous l’Ancien Régime ( ADD, 3L) . Voir Alan Forest, La Révolution française et les pauvres, Perrin, 1981

Pour la vente des biens nationaux voir les études de Jeannine Rousset sur Périgueux, de Noël Becquart sur Bergerac et Belvès. L’absence d’une synthèse au moins partielle manque à mon livre. J’essaierai de répondre à ce légitime reproche par une étude de quelques cas.

Le Journal patriotique du Département de la Dordogne parut pendant l’année 1791 seulement. Il est consultable à la Bibliothèque municipale de Périgueux et sur le site Petrocoria. Il fut très combatif jusqu’à l’automne et attaqua le Département, notamment sur la question religieuse (voir ci-dessous) après avoir annoncé son soutien dans le cadre de la défense de la constitution. Après l’élection de Pipaud au Conseil général du département, il devint très modéré, évoquant surtout les événements nationaux. Est-ce la raison de sa disparition fin 1791 ? Il est vrai qu’après son séjour à Paris, a l’automne 1791, Pipaud des Granges prit notamment de la distance avec les positions les plus avancées

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Il convient de distinguer le vote de la Constitution civile du clergé du 12 juillet 1790 qui devait se traduire par un passage sous le contrôle de l’Etat de l’ensemble des institutions religieuses et du clergé et la loi du 27 novembre qui assujettissait le clergé au serment.

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Le serment ecclésiastique.

Ce fut un vrai tournant pour la Révolution française dans la mesure où les réfractaires devinrent la base d’une opposition populaire. On ne peut pas dire qu’il renforça les refus déjà engendrés par la question des rentes : les gardes nationales, très en pointe sur cette affaire, se mobilisèrent surtout contre les réfractaires ce qui éclaire d’ailleurs leur idéologie.

T .Tackett, La Révolution, l’Église LaFrance, Paris, le Cerf, 1986, donne pour le serment en France 52,2% de prêtres assermentés dont 57% pour les curés. Pour la Dordogne (p366) 68% pour l’ensemble du clergé et 59% pour les curés. Ses statistiques portent sur 612 ecclésiastiques.

Pour sa part, R. Bouet (Le Clergé du Périgord pendant la Révolution française. Dictionnaire .biographique, Piégut-Pluviers, 1994), donne des chiffres différents. Ses statistiques portent sur l’ensemble des curés :il obtient un pourcentage de 52% de curés assermentés et 45% d’assermentés parmi les 173 vicaires de 159 paroisses recensés. T Tackett bien qu’il soit venu aux Archives de la Dordogne (je l’y ai rencontré !) a travaillé surtout avec les dossiers partiels des Archives nationales. R Bouet a effectué dans les Archives départementales et diocésaines un long et systématique travail dont le côté un peu discutable réside dans la partialité des termes (« intrus », »schismatique ») pour qualifier les jureurs) et non sur les chiffres. Son travail est de toute façon tout à fait passionnant ce que ne suggère pas son titre de dictionnaire car il contient une étude de parcours très éclairante.

Les prêtres de la Mission sont une congrégation séculière établie au XVII° siècle lorsque l’on se préoccupa d’appliquer les conciles de Trente sur la formation des prêtres en créant des séminaires. La Mission qui atteignit son apogée au XVIII° siècle sous l’épiscopat réformateur de Jean-Chrétien Machéco de Premeaux, évêque de Périgueux de 1742 à 1771(c’est le plus log épiscopat de l’histoire du diocèse) unanimement célébré comme un grand prélat y compris par l’organe des jansénistes, Les Nouvelles ecclésiastiques. C’est lui qui fit édifier près de la Cité le grand séminaire devenu aujourd’hui la cité administrative. Pour m’être beaucoup intéressé à lui, je dirais qu’il partage avec Pipaud des Granges d’avoir beaucoup fait et d’avoir été oublié dans la mémoire périgorde !

Le collège-séminaire de Mussidan eut une belle réputation au XVIIIe siècle où il fut fondé à Mussidan par les frères Chaminade dont l’un a été promu bienheureux au titre de son action à Bordeaux. Je renvoie à Société périgorde au Siècle des Lumières, Le clergé paroissial, Périgueux, Médiapart, 1982, p 35.

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Curé de Champagnac, 1L157 (13 janvier). Le Département dénonce des « propos irrévérencieux tenus par le curé « déclaration d’autant plus condamnable qu’étant fait sans nécessité, elle ne pouvait avoir d’autres objet que de faire naître le doute sur la sagesse et la justice de ce même décret »

Les traitements des curés sont fixés à 1200 livres pour le curé dans les paroisses de moins de mille habitants et de 1500 au-dessus. Les traitements croissaient ensuite en fonction de la population jusqu’à 3000 pour 10 000 habitants. En fait, ils se calculaient selon un barème qui ajoutait à ces traitements la moitié de la différence avec leurs revenus d’avant 1789. A noter que le revenu moyen de ces ecclésiastiques en 1790 pour le diocèse de Périgueux est passé de 400 livres en1730 àa 700 en 1760 et près de 1700 en 1790, le tout en revenu net. La grande différence s’explique par la hausse du produit décimal (qu’il faut tempérer par l’inflation). Surtout, les curés avaient intérêt à minimiser jusqu’en 1789 leurs revenus déclarés et base de l’impôt qu’on prélevait sur leur bénéfice, les décimes. Au contraire, vu le mode calcul ci-dessus, ils avaient intérêt à majorer leurs déclarations établies sur la moyenne des 14 dernières années. Mais les paroissiens surveillaient de façon sourcilleuse ces déclarations qui pouvaient servir à l’administration de référence pour établir les impôts. A noter que pour l’ensemble du département cette fois, R Bouet retient le chiffre moyen de 1717 Livres une fois le calcul du nouveau effectué, ce qui montre que la vieille image de la « plèbe cléricale » pour illustrer l’image du curé de campagne est loin de la réalité. On notera cependant que les curés du diocèse de Périgueux étaient en général mieux lotis que leurs collègues sarladais et leurs petites paroisses

Les curés maires. En dehors des deux cas de Belvès et Nontron nous ne disposons pas d’une approche globale. Avec les cas cités au fil des textes on peut estimer autour d’un tiers, les communes qui choisirent le maire pour curé conservant ainsi une situation proche de celle de l’Ancien Régime pour ce qui est des fonctions du curé. Il faut y ajouter le cas où on ne dispose pas suffisamment d’habitants sachant lire et écrire et capables de se charger de l’administration de la paroisse.

Le curé de Saint-Louis en Lisle, Sicaire Labruhe (ou Labrue) défraya beaucoup la chronique. Voir ses affrontements avec le maire. ADD B 847 et GM p 272. Et notice R Bouet, Dictionnaire, Tome 2 page 25

Correction : District (au lieu de district) de Périgueux (il s’agit de l’administration et non du territoire)

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Curé du Nontronnais : il agit du curé de Champniers-Reilhac cité dans l’article sur les curés du canton de Bussière s Badil (voir ci- dessous). Pour le curé de Razac d’Eymet, Benaud se reporter à Robert Bouet cité ci-dessus (p75). Pour les curés et le Carnaval de la Liberté, voir GM 368. Il s’agit d’une enquête sur les mais mené parle Grand prévôt Revoux de Ronchamp auprès des curés sur les mais dont la présence devient obsessionnelle et réellement révolutionnaire (j’ai étudié le cas de Saint-Alvère pour montrer cette évolution dans le regard des notables). Les autorités demandaient aux prêtres d’exhorter leurs paroissiens de les arracher s’ils subsistaient. Trente- trois curés répondirent (AN D XIX, GM P 368) pour justifier leurs succès ou les échecs et dénoncer ou excuser leurs paroissiens. Ceux des cantons les plus « chauds » comme Salignac se gardèrent de le faire. Pour ce curé, voir en outre ADD B et ADD 1 L157 (544) où il se plaint que la municipalité refuse son serment. Pour les affrontements dans la « conquête de la chaire de vérité », voir section 3 l’affaire de Villac.

L’attitude de la Société est facile à suivre à travers les prises de position du Journal (voir article ci-dessous)

Pour l’attitude des députés, Delfau et Laporte, Compte-rendu à leurs commettants avec quelques observations sur l’ordre public et sur la religion si nécessaire pour la Révolution, par M Delfau, archiprêtre de Daglan et M. Laporte, curé de Saint-Martial d’Hautefort, députés du Clergé aux Etats Généraux de 1789, , 1791, Paris , Caillot ET Courseur, rue Poupée, 1791. B MP LR II,6.

Loi sur les ordres monastiques et vœux monastiques : le décret du 13 février 1790 interdisait les vœux religieux et supprimait les ordres contemplatifs ; sur ce sujet un l’ouvrage de Gwnaël Morphy, Les Religieuses dans la Révolution française, Paris, Bayard, 2005 qui souligne la forte résistance de celles-ci, de l’ordre de 90 à 95% à quitter leurs couvents mettant à mal la conviction des patriotes qu’elles ne pouvaient y être entrées et y rester que contraintes et forcées.

Sur les revenus des curés du diocèse de Périgueux, Guy Mandon, La Société périgorde qui montre la présence courante même minoritaire des curés dont le revenu dépassait 2800L supérieur et de loin à celui de bien des familles nobles

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Les déclarations de l’abbé Fonvielhe à l’enquête sur les patois de 1791 publiée dans M de Certeau, Dominique Julia, Jacques Revel,Une politique de la langue, Folio, histoire, n°117, 2002 (édition originale, Gallimard 1975), «Mais pourquoi ne rétablirait-on pas dans son entier l’ancienne discipline, les beaux siècles de l’Eglise ; je veux dire pourquoi ne donnerait-on pas les ordres à des pères de famille qui auraient le témoignage du peuple » p 212

La question du soutien des femmes aux prêtres réfractaires souvent résolue par les révolutionnaires coups de truisme et d’images qui pèsent sur tout le XIX° (thème des femmes hystériques, fanatiques) l’image de l’Eve qui pousse l’homme au péché fondent l’hostilité politique a l’extension du suffrage universel aux femmes. J’y reviendrai. Le débat est ouvert par T Tackett,La Révolution, l’Eglise, la France, cité ci- dessus p 195

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Sur le tollé soulevé par les vicaires bergeracois voir chap 2, Bergerac, p26

L’élection de l’abbé Lasserre et sa présentation aux Jacobins Labroue,Société populaire Bergerac.

Sur la politique religieuse du directoire du Département, voir ci-dessous, texte 5. En fait la politique qu’il pratique est une politique d’équilibre qui apparaît à travers de nombreuses déclarations dans le registres ADD 1L156 et 157) : il s’agit de pratiquer la liberté de conscience dès lors qu’elle ne trouble pas l’ordre public auquel cas les poursuites tombent. Cette position est l’exacte application des Droits de l’homme. Mais pouvait-on dépassionner un débat aussi fondamental pour les jacobins ?

Election de l’évêque. Le 30 mars. Le scrutin dont le compte-rendu figure en ADD 1L352. Il y a dans le texte une confusion de date possible. En fait, les électeurs réunis le 27 élurent Pontard le 30 et non le 31 au 2° tour. Le premier ne mentionne aucun nom. La convocation, du procureur syndic, Moreau Saint-Martial pour élection de l’évêque (Imprimé BMP, fonds Lapeyre LR XII,2) avait provoqué la colère des Jacobins et surtout de la garde nationale qui se sentit visée par le passage ci-dessous. Après avoir évoqué les menaces de ceux qui étaient hostiles à la constitution civile, il ajoutait :

D’autres ennemis de la Constitution, aussi dangereux et plus perfides que les premiers, méditent et préparent les moyens d’égarer les opinions ; déguisés en patriotes, ils calomnient l’homme pur qu’ils veulent éloigner des places et voilent par des éloges outrés, les vices de l’homme pervers qu’ils s’efforcent d’élever ; ils tentent enfin de diriger les suffrages par la persuasion et souvent de les subjuguer par la Terreur.

Sur cette élection et sur le personnage, l’ouvrage le plus connu est celui de P J Crédot, Pierre Pontard évêque constitutionnel de la Dordogne, Paris 1893 qui contient des éléments mais a concentré sur lui le feu de la critique. On gagnera du temps en reprenant la notice de R Bouet.

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Pour l’accueil aux Jacobins ADD 12 L 13, 1 avril 1791, Délégation pour aller complimenter l’évêque par un membre de chaque société du département présente parmi les électeurs. Au retour il rend la réponse de l’évêque « le christianisme renferme toutes les vertus. La vertu se trouve dans le patriotisme et je puis vous assurer que j’irai puiser les principes de ce dernier parmi les Amis de la constitution »…Pipaud se félicite que la Révolution ait permis un prélat « citoyen et son égal » a l’adresse duquel elle formule l’engagement « La Société contracte l’engagement solennel de concourir de tout son pouvoir à vos vues religieuses et de verser jusqu’à la dernière goutte de son sang pour repousser les attaques de nos ennemis »

Le Bref du pape intervint après un long temps d’attente qui avait pesé sur les choix des prêtres. Adressé aux évêques, au clergé et au peuple de France, il déclara les consécrations d’évêques criminelles et sacrilèges, interdit toutes fonctions aux consécrateurs et aux consacrés, prononça la suspension de tout prêtre qui ne se rétracterait pas dans les quarante jours, exhortant les égarés au repentir et les fidèles à une inébranlable fermeté »’A Latreille,L’Eglise catholique et la Révolution française, le Pontificat de Pie VI et la crise française(1775-79) Hachette 1946 tome 1, p98. La violence des réactions, surtout jacobine, fut très forte comme en témoignent les extraits du Journal, ci-dessous.

Pour la réduction du nombre de paroisses à Excideuil, ADD 4L9 22 avril. Montignac 5L9(145), Nontron

Pour le refus des électeurs d’Excideuil d’élire de nouveaux curés, 4L9 (5551) sous prétexte d’erreurs dans la liste des paroisses. La séance donne lieu à une série de péripéties.

Pour Bergerac ADD 3L31. L’élection de l’abbé Lasserre donne lieu de la part du président, Chalvet à une exhortation très évangélique « La paix est sans doute le bien le plus précieux qu’il est permis de procurer aux hommes. C’est celui que le Sauveur du monde en quittant ses disciples leur commanda comme le complément de sa doctrine divine… Vous soutiendrez le pauvre, instruirez l’ignorant et préserverez celui qui travaille à s’éclairer des écarts d’une orgueilleuse philosophie. » On ne manquera pas de remarquer la vision particulière et rare chez les hommes de 1789 de la philosophie.

Pour la lettre de Ponte d’Albaret,voir l’article »Bergerac » en Chapitre 3. Il faut signaler qu’en conseillant le serment de restriction, il semblait vouloir associer ses convictions patriotique de maire de Sarlat et ses convictions religieuses. Cette prise de position provoqua déception et colère.

L’éloge de Jean Charles de Peyssard frère du futur maire de Périgueux et bourgeois de la ville est évidemment prononcé par la Société des Amis de la Constitution.

Sur la place du petit séminaire de Périgueux, on verra en ADD 1L155 à la date du 5 novembre la mention de « plusieurs pères de famille arrivés dans la ville avec leurs enfants dans l’objet de les placer à la maison d’éducation connue sous le nom de petit séminaire. Le directeur avait refusé de les recevoir »craignant de se trouver en contradiction avec la loi ». Le Département trancha en demandant l’ouverture « Cet établissement ne pouvant pas être considéré comme un séminaire proprement dit, ne se bornant pas aux enseignements relatifs à l’état ecclésiastique. » Notons que la situation du collège se trouvait différente : il était tenu depuis quasiment le départ des jésuites par les Doctrinaires (Lakanal semble y avoir enseigné) qui eux étaient assermentés. Le problème est que leur effectif fondit rapidement. Ce fut le même cas pour Mussidan.

Nous n’avons pas retrouvé ce document en occitan mais sa version française se trouve dans le fonds Lapeyre.

La journée du 17 avril marque un point-tournant dans les relations déjà complexe entre Société et Département. On trouvera au chapitre »Périgueux sous la Révolution » (Chapitre 10) une étude sur cette journée.(à venir)

Caventou est le marchand de poêles de Périgueux qui devint un des leaders de la Société dont l’influence ne devait cesser de croître jusqu’en l’An II. Il fut témoin à charge au procès de Pipaud des Granges.

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L’affaire des 13 et 14 juin marque les difficultés du maintien de l’ordre et du maire Salleton. Le 14 juin est provoqué par deux événements tous deux ayant les femmes pour personnages principaux et en particulier une personnage qu’on a déjà vu apparaître et qu’on aimerait connaître mieux ! Voir chapitre « Périgueux sous la Révolution »

Page 90 Varennes

On peut se rendre compte de Varennes par la description qui en est faite dans les registres de chaque district .Voir notre article ci-dessous

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