« Histoire d'un commerce de Périgueux, la maison Michard-Ardillier » : différence entre les versions

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Version du 22 mai 2022 à 08:55

Le visage d’une ville change au cours du temps ; pour écrire son histoire, il faudrait reconstituer celle de l’occupation de ses rues, l’évolution des commerces qui lui donnent forme. Certains disparaissent avec la transformation de la société et ce sont en même temps des métiers que l’on oublie. Par exemple, en 1885 à Périgueux, on comptait 6 marchands de charbon, 14 sabotiers, 3 fabricants et marchands de chandelles et cierges, 39 cordonniers. Pour les commerces de bouche, on recensait 34 bouchers, 20 charcutiers, 41 boulangers, 16 marchands de comestibles truffés...      

     Dix ans plus tard, à l’angle de la rue Gambetta et du cours Montaigne, la nouvelle « Maison Labasse » accueillait le magasin de nouveautés « Au Petit Paris », sur le modèle d’un grand magasin parisien. Presque tous ces établissements ont disparu ou changé de place. Ceux qui restent, transformés, appartiennent au patrimoine vivant de la ville.‍